Etes-vous au bout du rouleau?
- coachorigin
- il y a 2 jours
- 2 min de lecture

Beaucoup de femmes que j’accompagne partagent la même impression : une fatigue sourde, qui ne part pas même après une bonne nuit de sommeil
Pas une crise… une saturation
Ces moments-là, j’ai appris à les reconnaître et surtout à les accepter.
Ils n’annoncent pas forcément une crise.Ils révèlent une saturation.
👉 Une saturation du mental qui turbine, qui analyse, qui contrôle, et qui ne s’arrête jamais.
Et dans ces moments-là, l’instinct peut être de tout envoyer valser :
changer de job,
claquer une porte,
prendre un virage radical,
ou même… gueuler un bon coup (parfois, oui, ça soulage 😅).
Mais la vérité, c’est que la plupart du temps, ce n’est pas de révolution dont nous avons besoin.C’est juste d’espace.
Retrouver un peu de place en soi
Souvent, il suffit d’un petit retour à soi, d’une respiration, d’un geste simple, pour que la brume se dissipe.
Voici trois pratiques que je transmets régulièrement aux femmes que j’accompagne et qui fonctionnent à merveille :
1. Écrire ce qui tourne en boucle
Quand le mental sature, les pensées deviennent comme un disque rayé.Écrire les idées, les inquiétudes, les “à faire” permet de déposer à l’extérieur ce qui encombre à l’intérieur.Un carnet, trois phrases, sans chercher à bien écrire. Juste libérer de la place.
2. Choisir son emploi du temps en fonction de son énergie
Et pas de sa to-do list. Cela peut sembler impensable… mais c’est une clé puissante.Décaler un rendez-vous, dire non à une sollicitation, se donner une vraie pause au lieu de cocher une case de plus. Un ralentissement n’est pas un échec, c’est une stratégie.
Ancrer un rituel court, chaque matin
Trois minutes suffisent. Un exercice de respiration, un étirement doux encore sur le lit, ou un mot de gratitude soufflé dans le silence. Ce n’est pas la durée qui compte, mais la constance.
Pas besoin d’un grand plan
Quand on se sent saturée, la tentation est de tout remettre à plat.Mais la clé, ce n’est pas forcément de changer toute sa vie.
C’est de créer un mini espace.Un coin d’air frais au milieu de la surcharge.
Juste assez pour retrouver de la clarté et recharger ses batteries.
Et vous ?
Si vous vous sentez sur la corde raide en ce moment, souvenez-vous : ce n’est pas une faiblesse. C’est un signal.
Alors, parmi ces trois clés, laquelle avez-vous envie de tester dès demain pour souffler un peu ?
👉 Dans mes accompagnements, c’est souvent par ces petits ajustements que tout commence. Parce que parfois, ce n’est pas un virage à 180° qu’il faut. C’est simplement un souffle nouveau.
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